Squat immobilier : définition, sanctions et procédure d’expulsion
Squat immobilier : définition, sanctions et procédure d’expulsion
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Squat immobilier : définition, sanctions et procédure d’expulsion
Squat immobilier : définition, sanctions et procédure d’expulsion
22 sept. 2025





Le squat désigne l’occupation sans droit ni titre d’un logement ou local par des personnes qui s’y introduisent illégalement, généralement par effraction ou tromperie.
Définition juridique du squat
Le squat est encadré par l'article 226-4 du Code pénal et la loi n°2023-668 du 27 juillet 2023 visant à protéger les logements contre l’occupation illicite. Avant cette loi, les locaux vides ou résidences secondaires inhabitées n'étaient pas concernés par l'infraction.
Distinction avec d’autres situations
Locataire en impayé : Un locataire en retard de paiement n’est pas un squatteur, mais un occupant avec un contrat valide.
Conflit entre indivisaires ou héritiers : Ce type de conflit relève d’un litige civil et non d’un squat.
Maintien après expiration du bail ou hébergement temporaire : Ne constitue pas un squat, mais une situation civile.
Quelles sont les sanctions pénales contre le squat ?
Depuis 2023, les sanctions ont été renforcées :
Violation de domicile (article 226-4 du Code pénal) :
3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Jusqu’à 7 ans et 100 000 € d’amende en cas d'introduction en réunion ou en bande organisée.
Détérioration volontaire du bien (article 322-1 du Code pénal) : sanctions supplémentaires.
Quelles procédures pour expulser les squatteurs ?
Expulsion administrative (procédure accélérée)
Applicable uniquement si le logement constitue le domicile du propriétaire ou du locataire :
Dépôt de plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.
Transmission du dossier au préfet.
Mise en demeure adressée aux squatteurs (24h pour partir).
Intervention possible des forces de l’ordre sans décision judiciaire.
⚠️ Conditions : plainte avec preuve de domicile et d’occupation illégale.
Expulsion judiciaire (procédure classique)
Pour logements inhabités, secondaires ou vacants :
Assignation devant le tribunal judiciaire.
Jugement prononçant l’expulsion.
Commandement de quitter les lieux signifié par huissier.
Recours éventuel à la force publique après préavis.
⏳ Délais variables : Plusieurs semaines à plusieurs mois.
Trêve hivernale
Depuis 2023, la trêve hivernale (du 1er novembre au 31 mars) ne protège plus les squatteurs entrés illégalement dans un domicile (article L412-6 du Code des procédures civiles d’exécution).
À retenir
Le squat est une infraction pénale sérieuse.
Le propriétaire peut agir rapidement sous certaines conditions.
Les procédures d'expulsion ont été simplifiées pour renforcer les droits des propriétaires.
👩⚖️ Vous êtes confronté à un squat ? Le cabinet de Maître LUCE vous accompagne efficacement pour protéger vos droits et récupérer rapidement votre bien immobilier. Contactez-nous dès maintenant pour une assistance juridique personnalisée.
Le squat désigne l’occupation sans droit ni titre d’un logement ou local par des personnes qui s’y introduisent illégalement, généralement par effraction ou tromperie.
Définition juridique du squat
Le squat est encadré par l'article 226-4 du Code pénal et la loi n°2023-668 du 27 juillet 2023 visant à protéger les logements contre l’occupation illicite. Avant cette loi, les locaux vides ou résidences secondaires inhabitées n'étaient pas concernés par l'infraction.
Distinction avec d’autres situations
Locataire en impayé : Un locataire en retard de paiement n’est pas un squatteur, mais un occupant avec un contrat valide.
Conflit entre indivisaires ou héritiers : Ce type de conflit relève d’un litige civil et non d’un squat.
Maintien après expiration du bail ou hébergement temporaire : Ne constitue pas un squat, mais une situation civile.
Quelles sont les sanctions pénales contre le squat ?
Depuis 2023, les sanctions ont été renforcées :
Violation de domicile (article 226-4 du Code pénal) :
3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Jusqu’à 7 ans et 100 000 € d’amende en cas d'introduction en réunion ou en bande organisée.
Détérioration volontaire du bien (article 322-1 du Code pénal) : sanctions supplémentaires.
Quelles procédures pour expulser les squatteurs ?
Expulsion administrative (procédure accélérée)
Applicable uniquement si le logement constitue le domicile du propriétaire ou du locataire :
Dépôt de plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.
Transmission du dossier au préfet.
Mise en demeure adressée aux squatteurs (24h pour partir).
Intervention possible des forces de l’ordre sans décision judiciaire.
⚠️ Conditions : plainte avec preuve de domicile et d’occupation illégale.
Expulsion judiciaire (procédure classique)
Pour logements inhabités, secondaires ou vacants :
Assignation devant le tribunal judiciaire.
Jugement prononçant l’expulsion.
Commandement de quitter les lieux signifié par huissier.
Recours éventuel à la force publique après préavis.
⏳ Délais variables : Plusieurs semaines à plusieurs mois.
Trêve hivernale
Depuis 2023, la trêve hivernale (du 1er novembre au 31 mars) ne protège plus les squatteurs entrés illégalement dans un domicile (article L412-6 du Code des procédures civiles d’exécution).
À retenir
Le squat est une infraction pénale sérieuse.
Le propriétaire peut agir rapidement sous certaines conditions.
Les procédures d'expulsion ont été simplifiées pour renforcer les droits des propriétaires.
👩⚖️ Vous êtes confronté à un squat ? Le cabinet de Maître LUCE vous accompagne efficacement pour protéger vos droits et récupérer rapidement votre bien immobilier. Contactez-nous dès maintenant pour une assistance juridique personnalisée.
Le squat désigne l’occupation sans droit ni titre d’un logement ou local par des personnes qui s’y introduisent illégalement, généralement par effraction ou tromperie.
Définition juridique du squat
Le squat est encadré par l'article 226-4 du Code pénal et la loi n°2023-668 du 27 juillet 2023 visant à protéger les logements contre l’occupation illicite. Avant cette loi, les locaux vides ou résidences secondaires inhabitées n'étaient pas concernés par l'infraction.
Distinction avec d’autres situations
Locataire en impayé : Un locataire en retard de paiement n’est pas un squatteur, mais un occupant avec un contrat valide.
Conflit entre indivisaires ou héritiers : Ce type de conflit relève d’un litige civil et non d’un squat.
Maintien après expiration du bail ou hébergement temporaire : Ne constitue pas un squat, mais une situation civile.
Quelles sont les sanctions pénales contre le squat ?
Depuis 2023, les sanctions ont été renforcées :
Violation de domicile (article 226-4 du Code pénal) :
3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Jusqu’à 7 ans et 100 000 € d’amende en cas d'introduction en réunion ou en bande organisée.
Détérioration volontaire du bien (article 322-1 du Code pénal) : sanctions supplémentaires.
Quelles procédures pour expulser les squatteurs ?
Expulsion administrative (procédure accélérée)
Applicable uniquement si le logement constitue le domicile du propriétaire ou du locataire :
Dépôt de plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.
Transmission du dossier au préfet.
Mise en demeure adressée aux squatteurs (24h pour partir).
Intervention possible des forces de l’ordre sans décision judiciaire.
⚠️ Conditions : plainte avec preuve de domicile et d’occupation illégale.
Expulsion judiciaire (procédure classique)
Pour logements inhabités, secondaires ou vacants :
Assignation devant le tribunal judiciaire.
Jugement prononçant l’expulsion.
Commandement de quitter les lieux signifié par huissier.
Recours éventuel à la force publique après préavis.
⏳ Délais variables : Plusieurs semaines à plusieurs mois.
Trêve hivernale
Depuis 2023, la trêve hivernale (du 1er novembre au 31 mars) ne protège plus les squatteurs entrés illégalement dans un domicile (article L412-6 du Code des procédures civiles d’exécution).
À retenir
Le squat est une infraction pénale sérieuse.
Le propriétaire peut agir rapidement sous certaines conditions.
Les procédures d'expulsion ont été simplifiées pour renforcer les droits des propriétaires.
👩⚖️ Vous êtes confronté à un squat ? Le cabinet de Maître LUCE vous accompagne efficacement pour protéger vos droits et récupérer rapidement votre bien immobilier. Contactez-nous dès maintenant pour une assistance juridique personnalisée.
Le squat désigne l’occupation sans droit ni titre d’un logement ou local par des personnes qui s’y introduisent illégalement, généralement par effraction ou tromperie.
Définition juridique du squat
Le squat est encadré par l'article 226-4 du Code pénal et la loi n°2023-668 du 27 juillet 2023 visant à protéger les logements contre l’occupation illicite. Avant cette loi, les locaux vides ou résidences secondaires inhabitées n'étaient pas concernés par l'infraction.
Distinction avec d’autres situations
Locataire en impayé : Un locataire en retard de paiement n’est pas un squatteur, mais un occupant avec un contrat valide.
Conflit entre indivisaires ou héritiers : Ce type de conflit relève d’un litige civil et non d’un squat.
Maintien après expiration du bail ou hébergement temporaire : Ne constitue pas un squat, mais une situation civile.
Quelles sont les sanctions pénales contre le squat ?
Depuis 2023, les sanctions ont été renforcées :
Violation de domicile (article 226-4 du Code pénal) :
3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Jusqu’à 7 ans et 100 000 € d’amende en cas d'introduction en réunion ou en bande organisée.
Détérioration volontaire du bien (article 322-1 du Code pénal) : sanctions supplémentaires.
Quelles procédures pour expulser les squatteurs ?
Expulsion administrative (procédure accélérée)
Applicable uniquement si le logement constitue le domicile du propriétaire ou du locataire :
Dépôt de plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.
Transmission du dossier au préfet.
Mise en demeure adressée aux squatteurs (24h pour partir).
Intervention possible des forces de l’ordre sans décision judiciaire.
⚠️ Conditions : plainte avec preuve de domicile et d’occupation illégale.
Expulsion judiciaire (procédure classique)
Pour logements inhabités, secondaires ou vacants :
Assignation devant le tribunal judiciaire.
Jugement prononçant l’expulsion.
Commandement de quitter les lieux signifié par huissier.
Recours éventuel à la force publique après préavis.
⏳ Délais variables : Plusieurs semaines à plusieurs mois.
Trêve hivernale
Depuis 2023, la trêve hivernale (du 1er novembre au 31 mars) ne protège plus les squatteurs entrés illégalement dans un domicile (article L412-6 du Code des procédures civiles d’exécution).
À retenir
Le squat est une infraction pénale sérieuse.
Le propriétaire peut agir rapidement sous certaines conditions.
Les procédures d'expulsion ont été simplifiées pour renforcer les droits des propriétaires.
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FAQ – Squat immobilier
Quelle différence entre un squat et un locataire en impayé ?
Le locataire en impayé possède un contrat de location valide, alors que le squatteur occupe illégalement sans aucun titre.
Comment prouver l’existence d’un squat ?
La trêve hivernale s’applique-t-elle aux squatteurs ?
Quels sont les risques juridiques pour les squatteurs ?
Quelles démarches pour expulser rapidement des squatteurs ?
FAQ – Squat immobilier
Quelle différence entre un squat et un locataire en impayé ?
Le locataire en impayé possède un contrat de location valide, alors que le squatteur occupe illégalement sans aucun titre.
Comment prouver l’existence d’un squat ?
La trêve hivernale s’applique-t-elle aux squatteurs ?
Quels sont les risques juridiques pour les squatteurs ?
Quelles démarches pour expulser rapidement des squatteurs ?
FAQ – Squat immobilier
Quelle différence entre un squat et un locataire en impayé ?
Le locataire en impayé possède un contrat de location valide, alors que le squatteur occupe illégalement sans aucun titre.
Comment prouver l’existence d’un squat ?
La trêve hivernale s’applique-t-elle aux squatteurs ?
Quels sont les risques juridiques pour les squatteurs ?
Quelles démarches pour expulser rapidement des squatteurs ?
FAQ – Squat immobilier
Quelle différence entre un squat et un locataire en impayé ?
Le locataire en impayé possède un contrat de location valide, alors que le squatteur occupe illégalement sans aucun titre.
Comment prouver l’existence d’un squat ?
La trêve hivernale s’applique-t-elle aux squatteurs ?
Quels sont les risques juridiques pour les squatteurs ?
Quelles démarches pour expulser rapidement des squatteurs ?
FAQ – Squat immobilier
Quelle différence entre un squat et un locataire en impayé ?
Le locataire en impayé possède un contrat de location valide, alors que le squatteur occupe illégalement sans aucun titre.
Comment prouver l’existence d’un squat ?
La trêve hivernale s’applique-t-elle aux squatteurs ?
Quels sont les risques juridiques pour les squatteurs ?
Quelles démarches pour expulser rapidement des squatteurs ?



Horaires d'ouverture
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Lun — Ven : 09h00 - 13h00 / 14h00 - 19h30
Lun — Ven : 09h00 - 13h00 / 14h00 - 19h30
Lun — Ven : 09h00 - 13h00 / 14h00 - 19h30
N'hésitez pas à nous écrire via le formulaire ci-dessous : Maître LUCE est à votre écoute pour toute question ou demande d'informations. Vous pouvez également nous joindre directement par e-mail ou par téléphone.
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